Cette boite à outils contient des ressources incontournables pour s’initier à l’accès et à la préservation des publications numériques.
Boite à outils
Guide Wikipédia | Guide d’introduction pour créer et modifier des articles sur Wikipédia |
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Guide de citation | Comment citer des oeuvres d’art |
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Qu'est-ce que le libre accès? | Une introduction ainsi que plusieurs ressources sur le libre accès. |
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Le libre accès (OA pour Open Acces) peut être défini de plusieurs manières et c’est un concept qui a évolué à travers les années. Au niveau fondamental, nous pouvons le décrire comme un accès en ligne gratuit aux résultats de la recherche publique. Ceci a lieu soit parce que l’éditeur s’inscrit dans le libre accès (nommés « Gold OA, ») ou parce que les auteurs déposent des copies de leurs publications dans des dépôts en libre accès (nommés « Green OA »). La déclaration la plus influente du mouvement, l’Initiative de Budapest pour l’accès ouvert (BOAI), définit le libre accès comme étant “la disponibilité gratuite sur l’Internet” et nomme les éléments suivants comme étant des permissions implicites d’utilisateurs concernant le contenu: lecture, téléchargement, copie, distribution, impression, recherche, création d’un lien au texte intégral, indexation de données, utilisation en tant que donnée pour un logiciel, utilisation légale pour quelconque autre raison, sans obstacles financiers, légaux ou techniques autre que l’accès à l’Internet. La seule contrainte que le BOAI souligne au sujet des permissions ci-dessus c’est la nécessité « de donner aux auteurs le contrôle de l’intégrité de leur travail et le droit d’être correctement reconnus et cités » [1]. Comme l’accès gratuit et public aux résultats de recherche amène à plus de citations et d’impact, le mouvement du libre accès vise à augmenter les avantages de la recherche sur la société. Le contenu libre accès n’inclut pas n’importe quel contenu disponible gratuitement en ligne, traditionnellement le terme a été utilisé pour décrire l’édition scientifique et érudite dans le contexte universitaire provenant de recherches financées par le secteur public, et rendues explicitement disponibles avec toutes les permissions que cela implique. Le mouvement du libre accès a évolué à travers le temps en réponse aux défis particuliers de l’édition universitaire, comme les coûts exponentiellement en hausse des abonnements de publications académiques qui ont comme résultat que les bibliothèques universitaires ont du mal à entretenir leurs services à leurs utilisateurs. Les défenseurs du libre accès pensent que ces compagnies d’éditions privées ne devraient pas profiter au détriment de la recherche financée publiquement. Pendant qu’un soutien remarquable pour le libre accès est venu des communautés médicales et scientifiques, il y cependant eu très peu de reconnaissance provenant de la communauté de recherches artistiques. Par contre, en 2008, la résolution sur les droits d’auteurs de l’Association internationale d’instituts de recherche en histoire de l’art (RIHA) (« The International Association of Research Institutes in the History of Art (RIHA) Resolution on Copyright ») [2] a averti qu’un « régime qui est excessivement protecteur des intérêts des détenteurs de droits actuels » peut étouffer l’avancement de l’étude créative et érudite. Les résolutions de la RIHA conseillent aux détenteurs de droits d’auteur d’utiliser des exemptions larges et efficaces des droits d’auteur pour la recherche, l’étude privée, la critique et l’analyse. Il est clair que les problèmes d’accès et de restrictions de grande portée de droits d’auteur s’appliquent autant aux disciplines des arts qu’à la science, la médecine et la technologie. Le libre accès n’exclut pas, par définition, les autres formes de diffusion. Il est possible de rendre des publications disponibles à travers un dépôt en libre accès, et de vendre des copies numériques ou imprimées de la même publication. Athabasca University Press est un éditeur qui rend ses publications disponibles par téléchargement gratuit et offre également à la vente des versions imprimées. Le centre des arts actuels Skol est un centre d’artistes à Montréal qui a rendu la majorité de ces publications disponibles dans e-artexte et vend aussi des versions imprimées à travers leur site Internet. Le libre accès peut servir comme une voie complémentaire de diffusion de publications. Il y en a qui croient qu’un accès augmenté et une visibilité internationale fournie par un dépôt en libre accès peuvent mener à une plus grande vente de publications imprimées. À ce jour, il n’existe aucune recherche définitive pour soutenir cette affirmation, par contre il y a une étude pilote en cours au Royaume-Uni pour évaluer l’utilisation et la vente des monographies en libre accès versus les monographies disponibles de manière commerciale [3]. Les résultats de cette étude seront disponibles en 2014. Entre temps, nous encourageons les éditeurs en arts visuels à envisager le modèle du libre accès comme un moyen d’élargir la distribution et la portée de leurs publications.
Information supplémentaire: Wikipédia – Libre accès (édition scientifique)
Références 1.L’Initiative de Budapest pour l’accès ouvert. 2002. 2. La résolution RIHA sur les droits d’auteurs de l’Association internationale d’instituts de recherche en histoire de l’art (2008). 3. OAPEN: Projet pilote JISC en cours maintenant pour évaluer l’utilisation et les ventes des monographies en libre accès vs. les monographies disponibles de manière commerciale. |
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e-artexte et le libre accès | Une explication sur les dépôts numériques |
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Qu’est-ce qu’un dépôt numérique? e-artexte est un dépôt numérique en libre accès. Que voulons-nous dire par un dépôt numérique? Un dépôt numérique est plus qu’une simple base de données en ligne de documents. Nous pouvons définir un dépôt numérique comme étant “un ensemble de services offert à une communauté pour la gestion et la diffusion de matériaux numériques créés par les membres de cette communauté” [1]. Les dépôts numériques sont trouvés le plus souvent dans un contexte universitaire, ou ils fournissent un accès aux publications des étudiants et membres de la faculté, comme des thèses et des articles de revues. Plusieurs universités de recherche ont des dépôts institutionnels à cet effet, et la faculté et les étudiants doivent « auto-archiver » leurs publications. L’auto-archivage signifie que les auteurs téléversent leurs propres documents au dépôt et fournissent de l’information de base pour décrire les documents. Les services offerts par un dépôt numérique comprennent des services techniques conçus pour assurer la longévité, l’interopérabilité et l’accessibilité de son contenu, aidant ainsi à la préservation à long terme des connaissances. Les services dépositaires comprennent aussi un soutien aux auteurs et éditeurs dans la compréhension des nuances des droits d’auteurs dans l’auto-archivage du libre accès, ainsi que dans la documentation et un soutien pour compléter le flux de travail de l’auto-archivage. Contrairement aux dépôts académiques et institutionnels, e-artexte est un dépôt thématique centré sur un champs d’étude particulier – l’art canadien de 1965 à aujourd’hui – et qui privilégie les publications critiques comme les catalogues, monographies et périodiques. Il y a plusieurs logiciels de dépôt numérique open source disponibles; le dépôt e-artexte utilise le logiciel Eprints, développé par la University of Southampton. Références 1. Clifford Lynch, “Institutional Repositories: Essential Infrastructure for Scholarship in the Digital Age.” (“Les dépôts institutionnels: infrastructure essentielle pour l’érudition dans l’ère numérique.” ARC 226 (2003) n. page. Web. 6 fév. 2013.
Abonnement au flux RSS d’e-artexte RSS est un sigle provenant de l’expression anglaise “Real-time Simple Syndication.” C’est un format pour la syndication de contenu qui permet, en s’abonnant, de recevoir les actualités et mises-à-jour de sites Internet précis sans avoir à visiter ces sites à tous les jours. Les actualités vous sont livrés sous forme de « flux ». Vous pouvez vous abonner à de nombreux flux et ainsi recevoir tous vos actualités dans un espace centralisé à travers un logiciel de « lecture de flux », ou une interface Web. e-artexte fournit des flux RSS pour n’importe quel ensemble d’entrées trouvé dans la collection. Quand vous faites une recherche dans e-artexte, vous pouvez par la suite vous abonner à un flux qui vous livrera de nouveaux résultats dans votre lecteur de flux. Ce document contient les instructions sur comment s’inscrire à un flux RSS e-artexte, en utilisant le service de lecteur de flux en ligne The Old Reader. Abonnez-vous au flux RSS d’e-artexte !
Plus de renseignements: RSS, Wikipédia |
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édition numérique | Comment créer un PDF/A pour un accès à long terme aux contenus |
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Qu’est-ce qu’un PDF/A? PDF/A est un format de fichier standard ISO pour la préservation à long terme de contenu basé sur le format de document multiplateforme PDF. Bien que le format PDF soit utilisé à grande échelle, les fichiers PDF peuvent contenir des éléments qui rendront leur contenus moins accessibles au fil du temps. Par exemple, les fichiers PDF peuvent contenir des polices intégrées ou du contenu multimédia qui dépendent de composants externes pour opérer. Ces composants peuvent devenir désuets ou non soutenus au fil du temps, ce qui a comme résultat une perte d’information à l’intérieur d’un fichier. C’est pour cette raison que le standard PDF/A a été développé. Le format PDF/A comprend certaines caractéristiques et en exclut d’autres afin de préserver le plus possible l’apparence et la lisibilité du contenu des fichiers à long terme et indépendamment de la plateforme. Les fichiers sont indépendants, contrairement aux fichiers PDF. Ceci veut dire que le fichier ne dépend pas de composants externes pour être lu. Les polices sont intégrées directement dans le fichier, et les fichiers multimédias et liens intégrés ne sont pas permis. L’encodage et la compression ne sont pas permis en PDF/A. Le format PDF/A est auto-documenté, ce qui signifie que les métadonnées liées au contenu du fichier peuvent être sauvegardées à l’intérieur de celui-ci. Des renseignements comme le nom de l’auteur, le titre et les mots clés peuvent être sauvegardées dans le fichier pour assurer un accès futur.
PDF, PDF/A et e-artexte PDF et PDF/A sont les formats de fichiers recommandés pour les documents textuels dans e-artexte. Nous encourageons les membres à convertir leurs publications vers PDF/A, ceci permettra de conserver l’accès à leurs documents au fil du temps. Par contre, nous reconnaissons que la conversion de fichiers vers PDF/A peut parfois être compliquée selon les caractéristiques du document original, et nous sommes donc heureux d’accepter les PDFs ou autres formats de fichiers. Si vous avez de lourds fichiers PDF à déposer dans e-artexte, c’est une bonne idée de compresser ces documents vers une taille de fichier plus petite, plus convenable pour la visualisation sur Internet. Il y a plus de renseignements au sujet de l’optimisation des fichiers PDF dans le didacticiel suivant (en anglais) sur comment optimiser votre fichier PDF.
Créer des fichiers PDF/A Ci-dessous se trouve de l’information décrivant comment générer des fichiers PDF/A à partir d’une variété de formats de fichier.
En utilisant Adobe Acrobat 7 ou une version plus récente, vous pouvez sauvegarder vos fichiers directement en format PDF/A en utilisant le menu Fichier > Enregistrer sous.
Si vous utilisez MS Office 2007 pour Windows, alors vous pouvez installer le Complément d’enregistrement en PDF ou XPS en Microsoft . Puis dans les options PDF vous pouvez sélectionnez ISO-19005-1 conforme (PDF/A) et cliquez Publier. Avec MS Office 2012 pour Windows, la capacité de sauvegarder en PDF/A est intégrée. Suivez les mêmes indications que pour MS Office 2007.
Avec MS Office 2008 et 2011 pour Mac, vous pouvez utiliser le menu Fichier > Enregistrer sous pour sauvegarder en format PDF. Une fois que vous avez un fichier PDF vous pouvez le convertir en PDF/A en utilisant Adobe Acrobat.
Si vous utilisez une version plus ancienne de MS Office ou un autre logiciel de traitement de texte qui ne soutient pas PDF/A, vous pourriez peut-être ouvrir vos fichiers avec Open Office ou Libre Office, des suites ouvertes ( « open source ») qui comprennent la capacité d’exporter des fichiers en PDF/A.
Plus de renseignements: PDF/A-1, PDF for Long-term Preservation, Use of PDF 1.4, Sustainability of Digital Formats, Library of Congress. (en anglais)
Qu’est-ce qu’une ePUB? EPUBReader – module pour Firefox Calibre logiciel de gestion de livres électroniques Sigil éditeur de livres numériques EPUB
ePUB : Une étude de cas du Museu d’Art Contemporani de Barcelona (MACBA) Le Museu d’Art Contemporani de Barcelona (MACBA) a commencé à publier sa série de Quaderns portàtils (carnets portables) en 2006. Dès le début, l’objectif était de rendre ces publications faciles à lire, distribuer et partager. Offerte, à l’origine, en format PDF, le MACBA rend maintenant la série QP disponible en format ePUB. ePUB est un standard de livre numérique open qui peut optimiser le contenu pour différents dispositifs d’affichage.
Entretien avec Sònia López, chef du Web à MACBA
Nous voulons rendre facile à nos lecteurs l’utilisation et l’accès au contenu que nous fournissons. Plus grand est le nombre de formats que nous pouvons publier, plus nous répondrons aux besoins multiples de nos utilisateurs. Ceci est relié à notre objectif d’être le plus “open” possible. Quaderns portàtils (QP) est un de ces projets surprenants qui est parti d’une idée très simple: nous voulions produire une ligne de publications qui était bien conçue et abordable, facile à distribuer et à partager. Aussitôt qu’elle était lancée, la série QP est devenue un de nos grands succès numériques. En 2006, quand nous avons lancé la série, c’était très commun d’avoir une imprimante à la maison, et le PDF semblait être le format qui répondait le mieux à nos besoins: on pouvait lire la publication sur son écran mais le comportement commun était de l’imprimer. La conception visuelle est aussi faite pour être capable de relier les pages imprimées comme un livre classique.
ePUB est gratuit et ouvert, et le standard accepté pour les livres numériques. Il permet les feuilles de style en cascade CSS ce qui est important pour nous (nous aimons rendre les éditions utilisables mais encore jolies). Il soutient aussi les metadonnées, quelque chose qui nous tient à coeur depuis un certain temps. L’idée de fournir les Quaderns portàtils en formats différents a apparu tôt dans l’histoire (nous avons commencé à en parler en 2009) mais à l’époque, le scénario pour lire des formats numériques portait à confusion et les ressources de conversion étaient difficiles à gérer. Les graphistes n’avaient pas encore suffisamment d’expérience et les tablettes tactiles et liseuses étaient encore quelque chose de très nouveau et peu commun. Alors nous avons laissé l’idée en attente. Mais quand Sigil, Calibre et certains autres outils de logiciel ont apparu qui semblaient rendre la conversion de différents formats très facile, nous avons pensé qu’il était temps de passer à l’expérimentation. Des fois, j’ai l’impression que la vraie vie bouge beaucoup plus vite que la “vie institutionnelle”: Je convertissais mes lectures personnelles à ePUB à la maison, mais je ne le faisais pas au musée ? Pourquoi ? Insensé. Quelqu’un a dit que les essais QP étaient trop denses pour être lus sur écran. Mais je pense que le coût de travailler avec ePUB est si bas, que ça vaut la peine de laisser les lecteurs décider où et comment ils veulent lire les essais.
La série Quaderns portàtils a publié seulement 27 titres en PDF à date et je pense que dans les prochains 12 mois nous allons pouvoir convertir les anciennes éditions vers ePUB également. Nous avons maintenant un modèle XML à utiliser et un logiciel open source avec lequel travailler, alors ce n’est qu’une question de temps pour avancer avec la conversion.
Nous avons mandaté le développement du modèle XML au studio qui a conçu le format PDF pour la série (http://cosmic.es/index_B.html) et ils ont fait le “travail acharné” de gestion des particularités du format. Il y a quelques facteurs dont il faut tenir compte. Par exemple dans un document ePUB, les notes de bas de page sont toujours à la fin du document et donc le contenu qui avant allait à la 4e de couverture doit maintenant être présenté un peu différemment. Mais en général, je pense que le processus était facile, d’un point de vue technique. Je pense que le plus gros défi pour les graphistes était d’accepter la perte de contrôle sur l’apparence générale du livre numérique. Mais, d’un autre côté, ils ont réalisé que leur perte de contrôle était un gain pour les utilisateurs, alors le bilan final était assez juste. Dans ce cas, le contenu et sa facilité d’accès sont l’intérêt principal. Ils ont fait beaucoup d’effort pour créer un modèle qui est à la fois utilisable mais également bien conçu pour une lecture confortable. Je crois qu’ils ont réussi.
Ça ne l’a pas vraiment changé, mais c’est parce que nous utilisons les possibilités en texte brut du format ePub. Pour la série QP le texte est rédigé et révisé selon les mêmes standards utilisés pour d’autres publications. Nous divisons (ou peut-être que le mot devrait être identifions) le contenu en unités différentes (couverture, index, titre, corps du texte, logotype, notes, etc.) et nous le donnons au graphiste qui travaille d’abord avec un modèle d’Adobe InDesign préparé pour une production double (PDF et ePUB). Une fois la mise en page PDF reçue, nous la révisons une fois ou deux. Puis, quand nous sommes prêts à finaliser le PDF, nous recevons le fichier ePUB pour une révision finale en tablette. Si tout fonctionne dans le PDF, normalement l’ePUB fonctionnera aussi. Nous vérifions aussi les métadonnées. Ça, c’est quelque chose que j’avoue que nous n’avions pas pris en considération quand nous avions seulement le PDF, j’imagine que c’est parce qu’inconsciemment nous avions le produit imprimé en tête et non la version numérique. Le flux de travail est semblable à n’importe qu’elle autre publication non numérisée, et ça fonctionne avec les QPs parce qu’ils sont composés surtout de contenu en texte brut. Mais seulement cette semaine j’ai commencé des conversations pour un nouveau projet d’édition qui pourrait exiger un format ePUB enrichi, avec quelques vidéos et autres ressources dynamiques. Nous devrons ensuite voir si le flux de travail classique fonctionnera.
J’encouragerai toute organisation à essayer les ePUBs. Si vous n’avez pas les moyens d’avoir un graphiste pour vous aider, il y a quelques outils commodes disponibles avec lesquels vous pouvez experimenter vous-mêmes. Si vous êtes un peu “geek,” vous pouvez prendre un ePUB avec une structure que vous aimez et l’ouvrir avec Calibre ou Sigil pour voir comment il est fait et pour y emprunter des idées pour faire votre propre modèle XML en ePub. Les metadonnées sont très importantes. Prenez en soins. Ici je peux vous diriger vers des articles qui pourraient être intéressants au sujet des metadonnées et leurs importances dans des contextes différents. Tony Gill, Introduction to Metadata, Online Edition version 3.0 Activist Archivists and Digital Preservation
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Guide de planification de l'archivage d'un site Web | Guide visant à informer sur les étapes préparatoires à l’archivage d’un site web. |
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Guide détaillé d'archivage du Web | Guide d’apprentissage des bases de l’archivage du Web |
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Depuis des années, de nombreux projets artistiques se déroulent sur le Web, la pandémie ayant agi comme un accélérateur de ce type de diffusion. Expositions virtuelles et publications Web se multiplient de tous bords et de tous côtés! Mais qu’en est-il de la préservation de ces contenus? Élaboré par l’équipe des Ateliers Wiki X arts actuels, ce guide relevant d’un atelier virtuel vise l’apprentissage des bases de l’archivage du Web au moyen du logiciel Webrecorder et du service d’archivage Web Conifer. |
Autres ressources
Nos bibliographies thématiques permettent de faire des recherches plus ciblées dans la collection.